Pour nos voisins mauriciens la prise de conscience n’est pas récente…il faut changer de logiciel et trouver un relais de croissance pour l’agro-industrie cannière. Il s’agit aussi de penser à la future destination du foncier agricole en évitant de compromettre le futur (IRS ????)….Cette nécessité n’est plus de la théorie puisque au-delà de la fin des protocoles soutenant la filière, les prix des contrats de sucre rendent urgent la conduite de ce changement pour une modèle mauricien bâtit sur un éco-système durable. La chute du prix de la tonne à Rs 12 700 la tonne, implique bel et bien que l’industrie cannière est contrainte d’explorer d’autres voies. Cette orientation nouvelle n’est pas sans intérêt pour La Réunion préoccupée par des perspectives similaires.