Articles contenant le tag Economie de l’innovation

Bienvenue à SmartCity !

Dans la ville de demain, les puces seront reines. Du moins si les géants des TIC parviennent à leurs fins. Car les IBM et autres Cisco –géant des routeurs informatiques–  ont bien l’intention de truffer nos cités de millions de microprocesseurs communicants. Alors pour découvrir davantage SmartCity, voyez plutôt le lien : Des villes aussi smart que nos smartphones….!

Et dans le même ordre d’idée de la ville intelligente, je vous propose l’article fort intéressant : Quelle ville pour l’après pétrole ?…A l’image d’une ville « frugale » cherchant plus de satisfaction avec moins de ressources….Les puces et la technologie devraient aussi nous y aider !

, , , , , ,

Pas de commentaire

Prospective de l’an 2000…en 1910 !!!!!

Comment le monde de l’an 2000 était-il envisagé en 1910 ? par l’illustrateur français Villemard. Telles sont les réponses apportées par ces illustrations dessinées en 1910…( How he imagined the future to be in the year 2000 by the French artist Villemard in 1910 ?)Aux plaisir des yeux…et au bilan ?…Imaginons maintenant un tel écart entre le monde de 2012 et celui de 2112 ?…A nos méninges….le concours est lancé !!!!!

, , ,

Un commentaire

Innovation sociale: l’économie de demain?

On parle souvent d’innovations sous l’angle de la technologie…Mais l’innovation concerne tous les aspects de la vie et de la société…! Dans le domaine du social, au sens large du terme, l’innovation est également appelée à jouer un rôle clef !

Plus précisément, le thème de l’innovation sociale est apparu dans les années 1960, porté par des théoriciens du management comme Peter Drucker ou des entrepreneurs sociaux comme Michael Young, le fondateur d’Open University. Mais il n’a vraiment pris son essor que depuis une dizaine d’années, en redessinant la frontière parfois floue entre entreprise et société civile, l’une s’inspirant de l’autre et réciproquement.

Afin d’approfondir cette analyse je vous propose la lecture de ce brilant article de Paris Tech Review  Innovation sociale: l’économie de demain?.

, , ,

Pas de commentaire

Des Profs de Fac utiles aux entreprises encore plus pendant la crise !

L’incertitude économique et la diminution des points de repère stables pourraient avoir un effet inattendu : pousser les consultants à se rapprocher des milieux universitaires. En effet, la complexité croissante des questions posées par une clientèle d’entreprises en désarroi est propice à accélérer ce type de rapprochement. Pour preuve, lisez cet article rédigé par Muriel Jasor  du Quotidien les Echos.

LES POINTS POSITIFS :
Les profils académiques vus par les consultants :
-Ils ont une puissance d’analyse et une forte rigueur méthodologique.
-Leurs solides références théoriques aident à prendre du recul.
Les consultants vus par les académiques :
-Ils sont pragmatiques et en prise avec la réalité du terrain.
-Ils ont de la plasticité et de la réactivité.

LES POINTS NEGATIFS :
Les profils académiques vus par les consultants :
-Leur mépris à l’encontre des consultants est abyssal.
-Ce sont des donneurs de leçons.
-Ils ont une méconnaissance totale de l’entreprise.
-« Consultant » est un gros mot pour eux.
-Ils fonctionnent en circuit fermé.
Les consultants vus par les académiques :
-Beaucoup ne sont pas au niveau.
-Ils ne sont pas assez précis.
-Certains recherchent juste une caution académique mais ne sont pas prêt à adopter la rigueur scientifique des chercheurs…
-… tandis que d’autres s’entêtent dans leurs pratiques inefficaces et circonviennent aux besoins de leurs clients.

,

Pas de commentaire

Quel avenir pour les villes de demain ?

Jean-Pierre Sueur a publié en juin 2011 le rapport Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? pour la délégation à la prospective du Sénat. Il y préconise des villes « denses, donc écologiques » mais note que « l’hyperdensité produit des embolies ». Il soutient le projet de « réseaux de villes moyennes » plutôt que de « nappes urbaines » de plusieurs dizaines de millions d’habitants, recommande la création d’une agence de l’ONU pour aider à faire face aux sinistres urbains et propose 25 pistes pour l’avenir des villes du monde. Pour plus de précisions, je vous propose l’article : Quel avenir pour les villes de demain ?

, , , , , ,

Pas de commentaire

L’innovation comme modèle de croissance et pour se préparer à l’après crise !

Pas assez innovantes, pas assez exportatrices, pas assez grandes… telles sont, entend-on souvent, les trois plaies dont souffrent les entreprises de croissance françaises dans la compétition économique mondialisée. Mais dans ce domaine, comme pour tout, nulle fatalité. La preuve avec ce nouveau dossier de « L’Art d’entreprendre » où « Les Echos », Ernst & Young et Centrale Paris vous proposent des conseils d’experts, des études de cas et divers outils. Oui, l’innovation peut être synonyme de performance durable.

Ainsi, L’innovation peut-elle être favorisée et comment ? Par des aides financières, un peu. Par des encouragements à faire travailler ensemble grands groupes, PME, start-up et laboratoires de recherche, sûrement. Par un management ouvert à la nouveauté et à la diversité, certainement.

, ,

Pas de commentaire

Les brevets freinent-ils l’innovation ? – Blogs ParisTech Review

Les brevets freinent-ils l’innovation ? – Blogs ParisTech Review.

,

Pas de commentaire

Can the Sun Save Reunion Island ? The Interesting Case of Greece Experience !

German Finance Minister Wolfgang Schäuble has proposed that developing green-energy resources could be a good way for Greece to generate much-needed economic growth. On paper, it sounds like a perfect solution to the country’s dire fiscal problems: Greece, according to Schäuble, could export solar electricity to Germany.

At first glance, monetizing an abundant natural resource (solar energy) to strengthen the national accounts sounds like a straightforward idea, particular given that electricity in central and northern Europe is becoming more scarce and expensive, owing to Germany’s decision earlier this year to phase out nuclear power. But has Schäuble really found a magic bullet to hold down German electricity prices while restoring economic growth to Greece? Yes and  no.

Indeed, the bad news: electricity currently produced in photovoltaic installations is far from price competitive with conventional technologies. “Grid parity”– meaning that the cost of electricity produced by a rooftop solar panel is equal to that of electricity from the wall socket – will only be reached in the middle of this decade.

Even then, solar power will still be more expensive than conventionally produced electricity, because “grid parity” excludes transmission and distribution costs, which typically account for about half of the final electricity price. Moreover, even if solar power were competitive, exporting it to Germany would not make economic sense: the required transmission lines do not exist, and the power losses incurred in transporting electricity over long distances is a disincentive to building them.

Even the reduced need for fuel imports (a quarter of Greece’s electricity is produced from oil and gas) would not have a large impact on the Greek current account. After all, because solar panels are unlikely to be produced domestically, they will have to be imported.

The problem, in a nutshell, is that solar-electricity production does not promise high returns. It is very capital-intensive, and only a relatively small number of jobs would be created (for mounting the panels). Even if Greece were able to produce surplus solar electricity, exports would yield little revenue, because standardized technology means that companies and countries can develop almost no productivity advantage. As soon as solar electricity becomes competitive in Greece, other countries with similar levels of irradiation (Spain, Italy, Portugal, Bulgaria, etc.) will enter the market. This will quickly drive electricity prices towards production cost, as solar-generating capacity in Europe approaches electricity demand.

The best way to ensure that German money and the Greek sun support the development of solar-energy technology would be to implement a European “green certificate system.” Under such a system, every European electricity supplier would have to guarantee that a certain share of the electricity that it sells comes from renewable energy sources. Suppliers’ targets could be differentiated, reflecting countries’ varying potential for deploying renewables or developing renewable-technology industries.

To read the complete text on this interesting subject for Reunion Island, I propose the post of the Author George Zachmann.

, , , , , ,

Pas de commentaire

Urbanisme et Technologie : Quelle ville connectée pour demain : la ville hybride !

La ville hybride de demain dans laquelle vivront des individus hyper-connectés est une ville en pleine mutation qui sera alimentée par les énergies renouvelables, avec un mode de gouvernance 2.0.

Pour cerner le concept de ville hybride, il faut partir d’un certain individu contemporain (non représentatif de l’ensemble de la société, mais emblématique d’une dynamique sociale).

Il fait tout d’abord preuve d’un double paradoxe. Il est écartelé entre ses aspirations individualistes et son exigence de protection par l’Etat. Il est ensuite désireux de s’impliquer dans différents groupes constitués, tout en exigeant d’être libre de toute attache. Il se caractérise ensuite par sa multiplicité identitaire, dans le but d’éviter la routine d’un seul rôle, et les habitudes qui pourraient limiter son expression personnelle. Il s’agit enfin d’un individu hyper-connecté, doué du don d’ubiquité qui est en relation partout et tout le temps avec ses communautés d’intérêts (avec comme paradoxe l’accroissement du sentiment de solitude).

Pour découvrir davantage la ville connectée de demain ou la ville hybride, je vous propose la lecture de l’article complet.

, , , ,

Pas de commentaire

Qu’est ce qu’un Think Tank ? par Thierry de Montbrial.

Le vocable de Think Tank est devenu à la mode et ne fait aujourd’hui l’objet d’aucune définition consensuelle. On le traduit généralement en français par laboratoire d’idées. Or, aucune étude sérieuse n’est possible sur la base d’une acception trop vague ou générale. Dans cette communication, Thierry de Montbrial a choisi de retourner à la source du phénomène et de distinguer clairement entre think tank et club de réflexion.

, ,

Pas de commentaire