Articles contenant le tag Urbanisme

Bienvenue à SmartCity !

Dans la ville de demain, les puces seront reines. Du moins si les géants des TIC parviennent à leurs fins. Car les IBM et autres Cisco –géant des routeurs informatiques–  ont bien l’intention de truffer nos cités de millions de microprocesseurs communicants. Alors pour découvrir davantage SmartCity, voyez plutôt le lien : Des villes aussi smart que nos smartphones….!

Et dans le même ordre d’idée de la ville intelligente, je vous propose l’article fort intéressant : Quelle ville pour l’après pétrole ?…A l’image d’une ville « frugale » cherchant plus de satisfaction avec moins de ressources….Les puces et la technologie devraient aussi nous y aider !

, , , , , ,

Pas de commentaire

Quel avenir pour les villes de demain ?

Jean-Pierre Sueur a publié en juin 2011 le rapport Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? pour la délégation à la prospective du Sénat. Il y préconise des villes « denses, donc écologiques » mais note que « l’hyperdensité produit des embolies ». Il soutient le projet de « réseaux de villes moyennes » plutôt que de « nappes urbaines » de plusieurs dizaines de millions d’habitants, recommande la création d’une agence de l’ONU pour aider à faire face aux sinistres urbains et propose 25 pistes pour l’avenir des villes du monde. Pour plus de précisions, je vous propose l’article : Quel avenir pour les villes de demain ?

, , , , , ,

Pas de commentaire

Le marketing territorial au service du projet de territoire !

Le marketing territorial au service du projet de territoire ! Lorsqu’un territoire ou une économie réfléchit à son projet ou à sa stratégie de développement, plusieurs outils se révèlent être nécessaires. Outre l’ingénierie de projet visant à construire ce document, il s’agit ensuite de la faire s’approprier par les acteurs éconmiques, la population et par le reste du monde. C’est alors que le marketing territorial s’avère d’une importance cruciale notamment lorsqu’il s’agit de créer une marque de territoire ou de ville.

Mais  une marque de ville est-elle une marque comme une autre ? Non, la ville ne peut se vendre comme un vulgaire produit. Elle doit mettre en valeur les potentialités qu’elle offre à ses citoyens et doit définir des projets qui fasse sens. Saint-Etienne a ainsi choisi d’ancrer sa mutation autour du design, Rennes s’oriente vers une gouvernance 2.0. Paris propose une démocratie culturelle. De plus en plus de métropoles recourent à des solutions innovantes pour améliorer nos vies d’urbains et rendre la ville plus intelligente.

Cette réflexion autour de la marque de territoire est d’une grande importance également pour les territoires périphériques insulaires (comme par exemple l’île de La Réunion) qui se recherchent un avenir, une destination, un projet de développement. Cette nouvelle tendance du marketing peut être un outil précieux dans une période où agitée par de nombreuses crises économiques, sociétales, nos territoires ces iles ont l’impérieuse nécessité de construire leur avenir durable.

Dans ce cadre je vous conseille la lecture de l’article sur les marques de ville ou le city branding


, , , , ,

Pas de commentaire

Urbanisme et Technologie : Quelle ville connectée pour demain : la ville hybride !

La ville hybride de demain dans laquelle vivront des individus hyper-connectés est une ville en pleine mutation qui sera alimentée par les énergies renouvelables, avec un mode de gouvernance 2.0.

Pour cerner le concept de ville hybride, il faut partir d’un certain individu contemporain (non représentatif de l’ensemble de la société, mais emblématique d’une dynamique sociale).

Il fait tout d’abord preuve d’un double paradoxe. Il est écartelé entre ses aspirations individualistes et son exigence de protection par l’Etat. Il est ensuite désireux de s’impliquer dans différents groupes constitués, tout en exigeant d’être libre de toute attache. Il se caractérise ensuite par sa multiplicité identitaire, dans le but d’éviter la routine d’un seul rôle, et les habitudes qui pourraient limiter son expression personnelle. Il s’agit enfin d’un individu hyper-connecté, doué du don d’ubiquité qui est en relation partout et tout le temps avec ses communautés d’intérêts (avec comme paradoxe l’accroissement du sentiment de solitude).

Pour découvrir davantage la ville connectée de demain ou la ville hybride, je vous propose la lecture de l’article complet.

, , , ,

Pas de commentaire

L’avenir de La Réunion ne passe pas que par une route : il appelle aussi une innovation de gouvernance !

Ce matin, en Commission Permanente de La Région Réunion, a eu lieu un débat sur les conclusions de la concertation publique autour du projet de route du littoral présenté par la majorité actuelle à La Région. Il ne fait de mystère que ce projet est critiqué par l’opposition à l’assemblée régionale et cela a été mainte et mainte fois argumenté : un projet pharaonique, un projet dont le bouclage financier est sujet à caution, un projet ne répondant pas aux enjeux du territoire dans son ensemble, un projet ne tenant pas compte de plusieurs risques notamment celui lié aux conséquences du réchauffement climatique, un projet incohérent tant que les entrées de villes (La Possession et Saint-Denis) ne seraient pas réalisés…

Loin de moi l’idée de poser que tel projet doit dominer l’autre…mais il ne fait pas de doute qu’en matière d’infrastructures routières un projet n’est pas neutre :

– il n’est pas sans conséquences sur les dimensions budgétaires et financières des collectivités concernées ;

– il n’est pas sans impacts sur le flux de déplacements entre les régions concernées Nord et Ouest et aussi les flux traversant ces régions.

– il est générateur de forces centrifuges et centripètes qui demandent à être mieux maitrisées notamment dans le cadre des effets de centralités qui seront créés sur la grande agglomération Nord

– il obère a court et moyen termes les possibilités de modalités alternatives en renforçant l’idée du tout automobile. Et il nous contraint sur le long terme

– il possède des impacts plus limités qu’un autre mode de circulation sur l’aménagement global du territoire réunionnais

Ces quelques arguments sont connus et méritent, je le pense, encore débats. Je serai le premier à reconnaitre que ces éléments de discussions sont erronés si ils me sont démontrés. Mais voilà, ce matin en Commission Permanente nous avons eu des débats qui ont parfois tourné à la caricature et qui ont été non respectueux de ma conception de l’échange démocratique pensant que  dans une démocratie moderne, le débat et l’échange respectueux permettent de sortir par le haut et d’offrir des réponses d’ambitions au territoire fruits d’une vision partagée et non pas d’un rapport de force.

Je conteste l’argument avancé par le Président de Région vantant sa vision moderne contre nos positions « passéistes »….Je pourrais également établir le long catalogue des mesures rétrogrades qu’il a prises depuis son élection…Mais, non, je ne souhaite pas m’inscrire dans cette vision manichéenne : d’un coté la majorité avec une vision moderne, adaptée, positive et de l’autre côté une opposition qui aurait tout faux…Non, il me semble important de faire évoluer nos modes de gouvernance vers le respect de la pensée d’autrui…

Je persiste à penser jusqu’à ce qu’on m’ait convaincu du contraire (donc les ouvertures d’esprit sont possibles !) que le projet global d’aménagement du territoire et l’éco-système des transports et déplacements proposés par l’Alliance sont les mieux adaptés pour préparer La Réunion à affronter les défis des quatre prochaines décennies (il était le seul à disposer d’une véritable réflexion autour de l’urbanisme de mobilité). En disant cela je ne rejette pas le projet de la majorité. J’anime le débat. Je ne manque pas de respect par rapport au projet de la majorité. Je lui apporte la contradiction pour que si c’est ce projet qui doit finalement se réaliser, il soit alors le meilleur pour mon île car fruit d’un débat contradictoire.

Accepter d’évoluer en matière de gouvernance, accepter d’innover en matière de gouvernance, accepter de réduire les déviances organisationnelles sont de bons moyens pour développer vers le haut des consensus sur des projets d’envergure majeure pour notre territoire.

Et cette acceptation de l’innovation en matière de gouvernance implique d’emblée un changement d’attitude loin de la diatribe ou de l’ironie mais davantage mu par le respect : Monsieur Le Président de Région est aussi innovateur que moi, je loue sa vision du futur, mais il doit comprendre que cet avenir nous le construirons en acceptant de mixer nos idées, en acceptant l’autre, en acceptant le fait que le futur n’est pas la propriété de La Réunion en Confiance, ni de l’Alliance ou du PS mais de tous les réunionnais ou de ceux qui se projettent dans le destin commun de ce territoire.  En outre, Monsieur le Président de Région n’a pas le monopole de la préoccupation de la sécurité des 55 000 réunionnais qui, chaque jour, passent sur cette route. J’y suis aussi très sensible et j’incorpore également cette dimension dans ma réflexion sur l’aménagement du territoire réunionnais. Mais je ne souhaite pas faire de la peur un argument de campagne. Je veux faire de l’avenir  de  La Réunion un territoire de confiance et non pas une terre de menaces ou de peurs.

L’avenir j’y crois pour La Réunion. Je suis, infatigablement, optimiste car j’aime cette île.  La conquête de ce futur sera sans doute plus difficile qu’elle ne l’a été par le passé en raison de la crise budgétaire actuelle au niveau des Etats mais aussi en raison de la fin attendue de moteurs traditionnels de croissance. Et c’est dans la perspective de ces difficultés qu’il m’apparaît indispensable que sur plusieurs projets d’intérêt majeur le mode de gouvernance évolue, privilégie la stabilité des visions et non pas leur remise en cause permanente.

Je le redis et le réécris encore une fois, sans naïveté mais avec volontarisme : la construction de La Réunion de demain, dans cette nouvelle décennie, appelle un sursaut où nous puissions nous respecter en dépassant les visions manichéennes, ironiques et de pures postures ou clivages. Sur ces projets d’intérêt majeur, l’esprit est davantage à la synthèse qu’à la séparation ou à la division.

C’est dans cet état d’esprit, orienté vers le futur du territoire, que j’entends continuer à exercer mon mandat en écoutant attentivement Mon Président de Région et en essayant de lui apporter respectueusement la contradiction, pour que loin d’être stérile, celle-ci lui apporte tous les éclairages nécessaires afin qu’il puisse amender ou consolider ses projets. Tout autant que lui, j’entends innover en matière de gouvernance en étant un opposant éclaireur d’une majorité lorsqu’elle manquera quelque peu de lumière car il n’est jamais bon de croire qu’on a toujours raison sur tout ! Douter n’est pas une erreur ou une faiblesse,  c’est au contraire une force démontrant  qu’on fait preuve d’humilité face aux défis de la vie et qu’on est à l’écoute d’autrui !

, , , , , , ,

Un commentaire

Pourquoi il faut changer de politique de logements

En France, comme à La Réunion, le logement joue un rôle de premier plan dans l’économie en raison de son importance pour la dépense et le patrimoine des ménages, et aussi de ses retombées en termes d’inclusion sociale, de performances scolaires et d’emploi. Les politiques gagneraient à se concentrer sur l’accroissement de la quantité de logements tout en restreignant les mesures qui alimentent la hausse des prix et des loyers. Depuis un demi-siècle, la progression des conditions de logement en France est spectaculaire. En 1954, moins de la moitié des logements avaient l’eau courante et un quart était équipé d’un WC intérieur. Le nombre de pièces par personne est passé de 1 en 1954 à 1,8 en 2006. Cependant, 3,4 millions de personnes environ restent logées dans des conditions insatisfaisantes, la hausse vertigineuse des prix, à l’origine de forts effets distributifs, nourrissant le sentiment d’une crise du logement. Une question cruciale est donc de savoir si les politiques du logement atteignent leurs objectifs de manière efficace. Cet article de Telos nous permet d’envisager cette évolution nécessaire de la politique de logement en France.

, , , , ,

Pas de commentaire

Comment se forme un embouteillage ? Réponse de l’économie….

Quand on vous dit que l’économie permet d’expliquer pas mal de choses de la vie….!!!! Alors voilà une explication supplémentaire : Les embouteillages ! Effectivement les embouteillages, c’est de l’économie. Tout bêtement une histoire d’offre et de demande. L’offre, c’est la capacité de la route (ou le nombre de voitures qu’elle peut accueillir). On estime la capacité d’une voie d’autoroute standard limitée à 130 km/h à 2.000 voitures par heure. Cette offre rencontre la demande, c’est-à-dire les déplacements que les usagers veulent effectuer, à un moment et un endroit précis. Pour en savoir plus je vous propose de lire la réponse à la question : Comment se forme un embouteillage ?

, , , ,

Pas de commentaire

Guangzhou, China Wins Sustainable Transport Prize : A quand celui pour La Réunion ?

La ville de Guangzhou vient d’obtenir une récompense concernant sa performance en matière de système de transport. L’originalité ne tient pas dans la dimension du projet et son giganstisme parce que nous serions en Chine. Non, le caractère spécifique de se projet pour un territoire en émergence est de ne pas opposer les différentes modalités et de s’appuyer sur une véritable éco-système globale de transport et déplacement alliant toutes les modalités (modes doux et sites propres). Cela est fort intéressant pour La Réunion qui disposait d’une vision similaire jsuqu’à il y a quelques mois. Mais qui malheureusement s’affaire depuis à opposer les modalités pour des raisons plus obscures. Cela sera autant de retard de pris dans une compétition qui comportent de sérieux concurrents. Cela soulève la question de la crédibilité de projets qui, au moment de leur annonce sont aussi séduisants que celui de Guangzhou, mais au moment de leur application sont victimes de la cécité des acteurs ou de la dictature de l’urgence. Pour plus de précisions sur ce benchmarking territorial afin que La Réunion puisse être davantage éclairée, visitons : Guangzhou, China Wins Sustainable Transport Prize.

, , , ,

Pas de commentaire

La bataille pour le train du futur est lancée – LeMonde.fr

Pendant que certains se projettent dans le futur, pour nous à La Réunion, il ne faudrait pas que certaines luttes nous fassent prendre trop de retard…car le monde ne nous attendra pas surtout s’il roule à la vitesse du TGV…Au-delà des débats sur les modalités de déplacement ces précautions s’adressent à tous les compartiments de notre société actuelle. Mais ce qui se passe sur le marché du transport ferroviaire en Europe est une illustration que la concurrence peut accélérer l’innovation…à condition qu’elle soit implantée au bon moment (c-a-d une fois le réseau construit). Et en même temps, si la France peut aujourd’hui se lancer dans cette compétition la tête haute cela est aussi du au fait que durant les 30 dernières années le programme TGV n’a souffert d’aucun arrêt ni de manque de lisibilité. Pour plus d’éclairage sur ce point je vous propose la lecture de l’article du monde La bataille pour le train du futur est lancée – LeMonde.fr.

, , , ,

Pas de commentaire

La cohérence du plan local d’urbanisme | Le nouvel Economiste

La cohérence du plan local d’urbanisme | Le nouvel Economiste.

, ,

Pas de commentaire