La science économique nous informe que l’échange international n’est jamais neutre. L’ouverture est  vue généralement comme bon pour l’accroissement du bien être (sous un ensemble d’hypothèses réunies bien sûr) et pour la croissance économique (voir les théories de la croissance endogène). Il n’empêche que tous les pays ne profitent pas de la même façon de l’ouverture aux échanges. Dès lors les tentations sont grandes pour certains d’opter pour des formes de protectionnisme, surtout en période de crise…L’article paru dans le journal La Tribune nous montre que le protectionnisme n’est pas la bonne solution non plus, encore moins pour les pays les plus faibles qui soit directement soit indirectement vont être les premières victimes du protectionnisme.