Archives de la catégorie Innovation et R&D

J–2 pour la première StartUp WeekEnd à l’Ile de La Réunion | Le Blog de la Ptite Gazette de La Réunion

 

 

En partenariat avec la Technopole de la Réunion, avec la Banque de la Réunion, la CCI et SUPINFO se tiendra du 21 au 23 octobre 2011, la première StartUp WeekEnd dans un département d’outre mer.

Vous avez un projet de StartUp mais il vous manque une équipe compétente, ou bien vous avez envie de soutenir et de participer à la création d’une Startup ? Vous devrez, avec votre nouvelle équipe, monter un dossier de startup en 54 heures non stop.

J–2 pour la première StartUp WeekEnd à l’ Ile de La Réunion | Le Blog de la Ptite Gazette de La Réunion.

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Les brevets freinent-ils l’innovation ? – Blogs ParisTech Review

Les brevets freinent-ils l’innovation ? – Blogs ParisTech Review.

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Les directeurs marketing anticipent une mutation radicale de leur métier !

Les directeurs marketing anticipent une mutation radicale de leur métier

Pour 68% des directeurs marketing et communication, leur fonction va radicalement changer dans les années à venir. Tel est le résultat de l’étude TNS Sofres présentée par le Club des Annonceurs.

L’étude, réalisée auprès de 400 responsables et/ou directeur marketing et communication, révèle une profession en profonde réflexion sur son rôle, même si le marketing est considéré de plus en plus comme une fonction stratégique, qui aura bientôt sa place au sein des directions générales (selon 74% des répondants).

Cette étude rejoint d’ailleurs l’inquiétude des Directeur Marketing quant à  la complexité accrue de leur métier.

En effet Les études sur l’évolution du métier de directeur marketing se succèdent… Et mettent en lumière le changement de paradigme que vit la profession. Après le Club des annonceurs, c’est IBM qui vient d’interroger des directeurs marketing. 1 700 dans le monde et 111 en France *. Ces enseignements sont clairs : les CMO (chief marketing officer) sont conscients des défis auxquels ils sont confrontés, notamment l’influence des médias sociaux et reconnaissent qu’ils évoluent dans un monde plus complexe et plus incertain.

Là encore je vous propose la lecture de l’étude d’IBM dont les traits marquant mettent en avant :

– L’explosion des données : en France, 81 % des répondants estiment manquer de préparation face l’explosion des données et près des 3/4 soulignent la nécessité d’investir dans la technologie ;
Un choix élargi des canaux et de périphériques. Ils ne sont pas préparés (78 % des réponses en France, 68 % dans le monde) a cette prolifération des périphériques (mobile, tablette, etc.) ;
Les médias sociaux : 72% des répondants en France reconnaissent manquer de préparation face à l’émergence et à la nouvelle influence des médias sociaux. (Ils sont 68 % dans le monde) ;
L’évolution démographique : la globalisation et l’arrivée des jeunes générations bouleversent l’accès à l’information et les habitudes de consommation.

La décennie qui s’ouvre sera celle du directeur marketing évalué sur la rentabilité démontrée de ses actions ». Ainsi, 62 % des directeurs marketing interrogés dans l’Hexagone estiment que le retour sur investissement des dépenses marketing sera le critère de succès numéro un d’ici 2015. Les outils de mesure utilisés pour évaluer l’efficacité des actions marketing sont en pleine évolution.

* L’institute for business value d’IBM a sondé 1 700 directeurs marketing, répartis dans 64 pays.
19 industries ont participé à cette étude via des entretiens en face-à-face. 111 directeurs marketing ont été interviewés en France.

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Comment nourrir 9 milliards d’humains sans détruire la planète ? | Eco(lo)

Comment nourrir 9 milliards d’humains sans détruire la planète ?

et pour plus de renseignements cf. l’article sur le site de Nature.

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« Les big pharmas contraintes de changer de business model » | Le nouvel Economiste

Même pour l’industrie pharmaceutique l’heure est au changement : « Les big pharmas contraintes de changer de business model » !

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Can the Sun Save Reunion Island ? The Interesting Case of Greece Experience !

German Finance Minister Wolfgang Schäuble has proposed that developing green-energy resources could be a good way for Greece to generate much-needed economic growth. On paper, it sounds like a perfect solution to the country’s dire fiscal problems: Greece, according to Schäuble, could export solar electricity to Germany.

At first glance, monetizing an abundant natural resource (solar energy) to strengthen the national accounts sounds like a straightforward idea, particular given that electricity in central and northern Europe is becoming more scarce and expensive, owing to Germany’s decision earlier this year to phase out nuclear power. But has Schäuble really found a magic bullet to hold down German electricity prices while restoring economic growth to Greece? Yes and  no.

Indeed, the bad news: electricity currently produced in photovoltaic installations is far from price competitive with conventional technologies. “Grid parity”– meaning that the cost of electricity produced by a rooftop solar panel is equal to that of electricity from the wall socket – will only be reached in the middle of this decade.

Even then, solar power will still be more expensive than conventionally produced electricity, because “grid parity” excludes transmission and distribution costs, which typically account for about half of the final electricity price. Moreover, even if solar power were competitive, exporting it to Germany would not make economic sense: the required transmission lines do not exist, and the power losses incurred in transporting electricity over long distances is a disincentive to building them.

Even the reduced need for fuel imports (a quarter of Greece’s electricity is produced from oil and gas) would not have a large impact on the Greek current account. After all, because solar panels are unlikely to be produced domestically, they will have to be imported.

The problem, in a nutshell, is that solar-electricity production does not promise high returns. It is very capital-intensive, and only a relatively small number of jobs would be created (for mounting the panels). Even if Greece were able to produce surplus solar electricity, exports would yield little revenue, because standardized technology means that companies and countries can develop almost no productivity advantage. As soon as solar electricity becomes competitive in Greece, other countries with similar levels of irradiation (Spain, Italy, Portugal, Bulgaria, etc.) will enter the market. This will quickly drive electricity prices towards production cost, as solar-generating capacity in Europe approaches electricity demand.

The best way to ensure that German money and the Greek sun support the development of solar-energy technology would be to implement a European “green certificate system.” Under such a system, every European electricity supplier would have to guarantee that a certain share of the electricity that it sells comes from renewable energy sources. Suppliers’ targets could be differentiated, reflecting countries’ varying potential for deploying renewables or developing renewable-technology industries.

To read the complete text on this interesting subject for Reunion Island, I propose the post of the Author George Zachmann.

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Urbanisme et Technologie : Quelle ville connectée pour demain : la ville hybride !

La ville hybride de demain dans laquelle vivront des individus hyper-connectés est une ville en pleine mutation qui sera alimentée par les énergies renouvelables, avec un mode de gouvernance 2.0.

Pour cerner le concept de ville hybride, il faut partir d’un certain individu contemporain (non représentatif de l’ensemble de la société, mais emblématique d’une dynamique sociale).

Il fait tout d’abord preuve d’un double paradoxe. Il est écartelé entre ses aspirations individualistes et son exigence de protection par l’Etat. Il est ensuite désireux de s’impliquer dans différents groupes constitués, tout en exigeant d’être libre de toute attache. Il se caractérise ensuite par sa multiplicité identitaire, dans le but d’éviter la routine d’un seul rôle, et les habitudes qui pourraient limiter son expression personnelle. Il s’agit enfin d’un individu hyper-connecté, doué du don d’ubiquité qui est en relation partout et tout le temps avec ses communautés d’intérêts (avec comme paradoxe l’accroissement du sentiment de solitude).

Pour découvrir davantage la ville connectée de demain ou la ville hybride, je vous propose la lecture de l’article complet.

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Qu’est ce qu’un Think Tank ? par Thierry de Montbrial.

Le vocable de Think Tank est devenu à la mode et ne fait aujourd’hui l’objet d’aucune définition consensuelle. On le traduit généralement en français par laboratoire d’idées. Or, aucune étude sérieuse n’est possible sur la base d’une acception trop vague ou générale. Dans cette communication, Thierry de Montbrial a choisi de retourner à la source du phénomène et de distinguer clairement entre think tank et club de réflexion.

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L’avenir de La Réunion ne passe pas que par une route : il appelle aussi une innovation de gouvernance !

Ce matin, en Commission Permanente de La Région Réunion, a eu lieu un débat sur les conclusions de la concertation publique autour du projet de route du littoral présenté par la majorité actuelle à La Région. Il ne fait de mystère que ce projet est critiqué par l’opposition à l’assemblée régionale et cela a été mainte et mainte fois argumenté : un projet pharaonique, un projet dont le bouclage financier est sujet à caution, un projet ne répondant pas aux enjeux du territoire dans son ensemble, un projet ne tenant pas compte de plusieurs risques notamment celui lié aux conséquences du réchauffement climatique, un projet incohérent tant que les entrées de villes (La Possession et Saint-Denis) ne seraient pas réalisés…

Loin de moi l’idée de poser que tel projet doit dominer l’autre…mais il ne fait pas de doute qu’en matière d’infrastructures routières un projet n’est pas neutre :

– il n’est pas sans conséquences sur les dimensions budgétaires et financières des collectivités concernées ;

– il n’est pas sans impacts sur le flux de déplacements entre les régions concernées Nord et Ouest et aussi les flux traversant ces régions.

– il est générateur de forces centrifuges et centripètes qui demandent à être mieux maitrisées notamment dans le cadre des effets de centralités qui seront créés sur la grande agglomération Nord

– il obère a court et moyen termes les possibilités de modalités alternatives en renforçant l’idée du tout automobile. Et il nous contraint sur le long terme

– il possède des impacts plus limités qu’un autre mode de circulation sur l’aménagement global du territoire réunionnais

Ces quelques arguments sont connus et méritent, je le pense, encore débats. Je serai le premier à reconnaitre que ces éléments de discussions sont erronés si ils me sont démontrés. Mais voilà, ce matin en Commission Permanente nous avons eu des débats qui ont parfois tourné à la caricature et qui ont été non respectueux de ma conception de l’échange démocratique pensant que  dans une démocratie moderne, le débat et l’échange respectueux permettent de sortir par le haut et d’offrir des réponses d’ambitions au territoire fruits d’une vision partagée et non pas d’un rapport de force.

Je conteste l’argument avancé par le Président de Région vantant sa vision moderne contre nos positions « passéistes »….Je pourrais également établir le long catalogue des mesures rétrogrades qu’il a prises depuis son élection…Mais, non, je ne souhaite pas m’inscrire dans cette vision manichéenne : d’un coté la majorité avec une vision moderne, adaptée, positive et de l’autre côté une opposition qui aurait tout faux…Non, il me semble important de faire évoluer nos modes de gouvernance vers le respect de la pensée d’autrui…

Je persiste à penser jusqu’à ce qu’on m’ait convaincu du contraire (donc les ouvertures d’esprit sont possibles !) que le projet global d’aménagement du territoire et l’éco-système des transports et déplacements proposés par l’Alliance sont les mieux adaptés pour préparer La Réunion à affronter les défis des quatre prochaines décennies (il était le seul à disposer d’une véritable réflexion autour de l’urbanisme de mobilité). En disant cela je ne rejette pas le projet de la majorité. J’anime le débat. Je ne manque pas de respect par rapport au projet de la majorité. Je lui apporte la contradiction pour que si c’est ce projet qui doit finalement se réaliser, il soit alors le meilleur pour mon île car fruit d’un débat contradictoire.

Accepter d’évoluer en matière de gouvernance, accepter d’innover en matière de gouvernance, accepter de réduire les déviances organisationnelles sont de bons moyens pour développer vers le haut des consensus sur des projets d’envergure majeure pour notre territoire.

Et cette acceptation de l’innovation en matière de gouvernance implique d’emblée un changement d’attitude loin de la diatribe ou de l’ironie mais davantage mu par le respect : Monsieur Le Président de Région est aussi innovateur que moi, je loue sa vision du futur, mais il doit comprendre que cet avenir nous le construirons en acceptant de mixer nos idées, en acceptant l’autre, en acceptant le fait que le futur n’est pas la propriété de La Réunion en Confiance, ni de l’Alliance ou du PS mais de tous les réunionnais ou de ceux qui se projettent dans le destin commun de ce territoire.  En outre, Monsieur le Président de Région n’a pas le monopole de la préoccupation de la sécurité des 55 000 réunionnais qui, chaque jour, passent sur cette route. J’y suis aussi très sensible et j’incorpore également cette dimension dans ma réflexion sur l’aménagement du territoire réunionnais. Mais je ne souhaite pas faire de la peur un argument de campagne. Je veux faire de l’avenir  de  La Réunion un territoire de confiance et non pas une terre de menaces ou de peurs.

L’avenir j’y crois pour La Réunion. Je suis, infatigablement, optimiste car j’aime cette île.  La conquête de ce futur sera sans doute plus difficile qu’elle ne l’a été par le passé en raison de la crise budgétaire actuelle au niveau des Etats mais aussi en raison de la fin attendue de moteurs traditionnels de croissance. Et c’est dans la perspective de ces difficultés qu’il m’apparaît indispensable que sur plusieurs projets d’intérêt majeur le mode de gouvernance évolue, privilégie la stabilité des visions et non pas leur remise en cause permanente.

Je le redis et le réécris encore une fois, sans naïveté mais avec volontarisme : la construction de La Réunion de demain, dans cette nouvelle décennie, appelle un sursaut où nous puissions nous respecter en dépassant les visions manichéennes, ironiques et de pures postures ou clivages. Sur ces projets d’intérêt majeur, l’esprit est davantage à la synthèse qu’à la séparation ou à la division.

C’est dans cet état d’esprit, orienté vers le futur du territoire, que j’entends continuer à exercer mon mandat en écoutant attentivement Mon Président de Région et en essayant de lui apporter respectueusement la contradiction, pour que loin d’être stérile, celle-ci lui apporte tous les éclairages nécessaires afin qu’il puisse amender ou consolider ses projets. Tout autant que lui, j’entends innover en matière de gouvernance en étant un opposant éclaireur d’une majorité lorsqu’elle manquera quelque peu de lumière car il n’est jamais bon de croire qu’on a toujours raison sur tout ! Douter n’est pas une erreur ou une faiblesse,  c’est au contraire une force démontrant  qu’on fait preuve d’humilité face aux défis de la vie et qu’on est à l’écoute d’autrui !

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Ville du futur : L’urbanisme collaboratif au service de la ville sans limite

Comment construire la ville du futur ? Cette question ne se pose pas uniquement aux urbanistes et aux politiques mais aussi à tout décideurs et citoyens désireux de concevoir pour une demain un environnement de vie plus compatible avec son biorythme. Cette construction peut se dérouler de plusieurs manière…d’en haut ou en s’appuyant sur la vision citoyenne…Il y a eu les tentative via la démocratie participative…Mais cela n’a pas donné l’élan attendu…Un outil, utilisant le foisonnement des TIC et leurs champs d’ouvertures et de possibles, est celui de l’urbanisme collaboratif…qui permet d’envisager une ville sans limite. La spécificité du projet « Villes sans limite » est de réintroduire le corps et les sens dans l’interaction numérique. À partir de smartphones et de tablettes connectées, les habitants auront la possibilité, in situ (c’est à dire dans la rue), de construire individuellement, à partir de choix multiples, leurs visions de l’évolution du quartier de la Bastille à Paris. « Ce que vous voyez est ce que vous pourriez obtenir. » Un serveur compilera ces différentes données et présentera en ligne, sur internet et les réseaux sociaux, en temps réel, les propositions des habitants et des analyses graphiques illustrant les choix (plusieurs dizaines de milliers). Afin d’obtenir davantage d’éclairages, je vous propose le lien suivant sur les villes sans limites.

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