Archives de la catégorie Management

Les 4 règles d’or du business selon John Chambers (Cisco) et Klaus Kleinfeld sur la crise – Journal « Les Echos »

Paru dans le quotidien,  Les Echo et loin des grands discours des consultants, les Pdg de Cisco et Alcoa livrent chacun les quatre leçons qu’ils retiennent de la crise. Simple et efficace.

John Chambers, Pdg de Cisco :
1- « Savoir faire la part honnêtement entre les difficultés qui relèvent de la crise (la macro-économie) et celles que l’on s’est infligéees soi-même et être réaliste sur les objectifs que l’on peut atteindre quand on est en bas du cycle ».
2- « Avoir conscience que la période de transition est toujours plus longue qu’on ne croit ».
3- « Peindre une image précise de ce à quoi ressemblera l’entreprise à la sortie de crise et communiquer énormément dessus en interne et à l’extérieur ».
4- « Rester très proche des clients tout le temps ».

Klaus Kleinfeld, Pdg d’Alcoa :
1-« Savoir offrir une autre perspective que des coupes, des coupes, des coupes »
2- « Avoir plus de cash en réserve car les conditions financières ont changé pour longtemps »
3- « Diversifier l’activité »
4-« Se souvenir en permanence que le vrai avantage compétitif, c’est la qualité des employés ».

Les deux ajoutent un ingrédient qui manque dans la plupart des pays développés et qui existent chez les émergents : le monde du business et l’administration doivent avoir le même objectif. Chambers : « les Chinois, les Indiens, les Turcs l’ont compris. Nous, on l’a oublié ». Kleinfeld : « Ca ne doit pas être « eux » (l’administration) contre « nous » (le business). Une meilleure entente entre le business et l’administration est nécessaire pour relancer la machine ». Précision : les deux parlaient des Etats-Unis…

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Masses de données et marchés fragmentés, les nouveaux défis du marketing !

Entre la demande des consommateurs et la capacité des entreprises à y répondre, la distance s’accroît. Non seulement les marchés se fragmentent, mais les spécialistes du marketing ont de plus en plus de mal à utiliser les énormes masses de données mises à leur disposition. Professeurs à l’université de Pennsylvanie, George Day et David Reibstein décryptent cette transformation profonde d’une activité vitale pour les entreprises.

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Pour l’entreprise : se penser mondiale dès le départ car « le monde est plat »

En voilà une drôle d’idée, alors qu’il est de notoriété publique qu’une entreprise, juste après sa création, doit faire ses preuves sur son marché domestique avant de partir hors des frontières affronter les champions étrangers. Certains entrepreneurs – fondateurs de sociétés “born global”, – cherchent d’emblée à faire du monde leur jardin : ils ont su se libérer du carcan des modèles “incontournables”. Profitant de la dématérialisation des échanges, de la valorisation croissante des innovations et de la spécificité de leur savoir-faire (IT, biotech, cleantech…), ces audacieux ne respectent pas les parcours classiques pour franchir les frontières et d’emblée recherchent directement les avantages comparatifs à l’échelle planétaire pour se financer, s’approvisionner et vendre. Ils ont davantage de possibilités qu’auparavant de se lancer dans cette course contre la montre, mais rencontrent en revanche toujours autant de difficultés à transformer l’essai dans la durée.

Certes il y a des difficultés mais celles-ci seront de toute façon rencontrées par les entreprises qui se focalisent sur leur marché domestique.

De plus cette vision, cette stratégie peut s’avérer très profitable aux petites économies insulaires qui se recherche un destin, comme La Réunion. Or, celui-ci ne peut reposer sur un marché local trop étroit. Il exige au contraire un regard extérieur qui effraie. Mais, là avec cette vision, la taille de  localisation d’origine importe peu puisque toutes les entreprises ont pour cible : le Monde. Dès lors, tout est permis !

Afin de mieux décrire cette vision je vous propose le lien suivant : Pour l’entreprise, se penser mondial dès le départ !

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Le marketing-antidote contre la morosité et générateur de rêves !

Lorsqu’on effectue un achat on peut être sensible à plusieurs paramètres. Son prix bien sûr, sa tendance, les valeurs et l’usage qui lui sont associés….Mais pour Gaël Clouzard, rédacteur en chef du magazine de tendances Influencia “On n’achète pas un produit qui se contente de refléter le monde réel. Pour susciter le désir, il faut au contraire s’en éloigner. Faire rêver.” Dans ce cadre le marketing apparaît vraiment comme un antidote à la morosité. On a alors une nouvelle tendance qui est crée : le marketing antidote !

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Buzz marketing, ladilafé et résilience : atouts d’une île, La Réunion, en mutation accélérée

La Réunion comme tout territoire de petite dimension a pour particularité de faciliter le buzz marketing ou ce qu’on appelle aussi le marketing viral. En créole on appelle cela le « ladilafé » ! On éternue à la ville de Saint-Pierre (principale ville du Sud de l’île) et on s’enrhume à Saint-Denis (principale ville du Nord de l’île). Cette rapidité avec laquelle l’information (vérifiée ou pas) se diffuse est décuplée avec l’avènement des réseaux sociaux. L’événement incendiaire qui frappe cette période est un nouvel exemple de diffusion de l’information à travers la société à la quasi-vitesse de la lumière.

Ce constat  n’est pas une découverte. Lorsque nous réfléchissions à plusieurs avec le SGAR de l’époque Jean Balandras au projet GERRI nous avions conscience que le territoire réunionnais présentait cet avantage de faciliter les comportements de mimétisme ou de consommation osmotique grâce à ce fameux marketing viral. Là ou l’information se serait perdue dans les champs de blé en France métropolitaine, ici à La Réunion, comme dans toute île, elle rebondirait sur les parois de nos côtes maritimes et serait amplifiée à l’instar d’une longueur d’onde ou d’un écho.

Ce principe du buzz n’a pas qu’un impact en marketing. Il s’avère aussi intéressant dans le cadre de la prise de conscience de son territoire. Ce dramatique incendie a le mérite d’avoir en un week end tissé un lien quasi charnel entre les réunionnais et leur île. Les réactions laissent apparaître des émotions de quasi souffrance pour notre forêt. Et il est vrai que cela est fort triste. Mais, là où il y a quatre ans, le projet d’inscription des Pitons, Cirques et Remparts s’était déroulé dans le quasi anonymat pour la première candidature, il en est tout autrement aujourd’hui. Le buzz des réseaux sociaux laisse émerger la croyance que La Réunion souffre à l’unisson pour sa forêt. Cela témoigne donc de la vitalité du lien fort qui unit les réunionnais, souvent tentés par une forme d’hédonisme, quels qu’ils soient à leur île. Encore une fois, comme dans beaucoup d’autres épisodes qui sollicitent la population, une véritable solidarité se répand dans les quatre coins de l’île et à travers la diaspora réunionnaise dans le monde à l’endroit des pompiers d’abord, des victimes ensuite et de la population en général. Notre île, La Réunion, fait encore montre de l’un de ses principaux atouts quasi endémique : la résilience sociétale. Le réunionnais, à l’instar du roseau, plie mais ne rompt pas !

Cette capacité à absorber le choc et à s’inscrire dans une véritable « cause patriotique » est extrêmement utile pour pouvoir relever les prochains défis économiques et sociaux qui viendront nous mobiliser, nous solliciter dans les prochaines années : dès lors cette capacité à puiser dans cette force, cette résilience doit nous convaincre que « lé pa kapab lé mor san ésayé »…Il en va pour l’incendie que nous vaincrons mais aussi des grands défis à venir. Ces atouts seront cruciaux pour une île connaissant une mutation accélérée !

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The 20 most innovatives cities in the world !

Where do innovations take place ? People can be innovative, companies can be innovative and it turns out cities can be innovative too.Australian consulting firm 2thinknow has released its annual list of the most innovative cities in the world. The ratings consider cultural assets, human infrastructure and networked markets. If you’re looking to innovate — in any of its many forms — you might want to move to these cutues,

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Le marketing territorial au service du projet de territoire !

Le marketing territorial au service du projet de territoire ! Lorsqu’un territoire ou une économie réfléchit à son projet ou à sa stratégie de développement, plusieurs outils se révèlent être nécessaires. Outre l’ingénierie de projet visant à construire ce document, il s’agit ensuite de la faire s’approprier par les acteurs éconmiques, la population et par le reste du monde. C’est alors que le marketing territorial s’avère d’une importance cruciale notamment lorsqu’il s’agit de créer une marque de territoire ou de ville.

Mais  une marque de ville est-elle une marque comme une autre ? Non, la ville ne peut se vendre comme un vulgaire produit. Elle doit mettre en valeur les potentialités qu’elle offre à ses citoyens et doit définir des projets qui fasse sens. Saint-Etienne a ainsi choisi d’ancrer sa mutation autour du design, Rennes s’oriente vers une gouvernance 2.0. Paris propose une démocratie culturelle. De plus en plus de métropoles recourent à des solutions innovantes pour améliorer nos vies d’urbains et rendre la ville plus intelligente.

Cette réflexion autour de la marque de territoire est d’une grande importance également pour les territoires périphériques insulaires (comme par exemple l’île de La Réunion) qui se recherchent un avenir, une destination, un projet de développement. Cette nouvelle tendance du marketing peut être un outil précieux dans une période où agitée par de nombreuses crises économiques, sociétales, nos territoires ces iles ont l’impérieuse nécessité de construire leur avenir durable.

Dans ce cadre je vous conseille la lecture de l’article sur les marques de ville ou le city branding


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Les Nouveaux défis et nouvelles tendances du marketing de demain

A quoi ressemblera le responsable marketing de demain ? Très certainement à une perle rare. A la fois suffisamment jeune pour maîtriser sur le bout des doigts les nouveaux langages à adopter sur les réseaux sociaux. Et assez mature pour pouvoir détecter les besoins du marché grandissant des seniors.

La profession n’a jamais autant été sous les feux des projecteurs. Car elle figure parmi celles à qui l’on va demander de s’adapter le plus vite. Et elle le sait, comme le montre l’étude que le Club des annonceurs a fait réaliser à l’occasion de ses vingt ans par TNS Sofres. Il ressort de cette enquête que 68 % des responsables marketing et communication interrogés estiment que leurs métiers vont se transformer de manière radicale, en particulier sous le double poids de l’accès de plus en plus immédiat à l’information et des réseaux sociaux, mais aussi à cause de l’impact des fameuses générations X et Y. « Les entreprises ne peuvent plus camper sur leurs vieilles organisations, leurs vieux process », indique dans le livre blanc qui accompagne la sortie du sondage Anne-Marie Gaultier-Dreyfus, présidente du Club des annonceurs et, par ailleurs, directrice marketing des Galeries Lafayette et du BHV.

 

Pour plus de précisions sur ces nouvelles tendances du marketing alors visionner cet article issu du quotidien « Les Echos » : les nouveaux défis du marketing

5 indicateurs de succès en marketing 10 métiers d’avenir
(Selon les directions marketing en France)
-Le retour sur investissement
-L’expérience des clients
– Les ventes induites par le marketing
-Les ventes totales
-Les nouveaux clients.-Le développement de contenu
-Le marketing de l’innovation
– La gestion de projet à 360°
– La gestion de la marque
-La gestion de l’expérience de la marque
-La gestion de l’expérience client
-La détection des tendances
– Le social marketing (CRM…)
-Le community management
-L’e-réputation.

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What Is The Semantic Web? (Infographic)

What Is The Semantic Web? (Infographic).

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Le CrowdSourcing

Développement d’une solution technique nécessitant des compétences absentes en interne, meilleure compréhension des besoins et des usages des clients, ou développement, voire co-développement, de nouveaux produits ou services, le “crowdsourcing” – externalisation ouverte – ouvre de nouvelles perspectives et abaisse les frontières entre les différents domaines de compétences ou entre les entreprises et leurs clients. Si la formule est pleine de promesses, elle trouve néanmoins ses limites dans son modèle de R&D et d’innovation aux contours encore mal définis et où il existe autant de normes et de règles que de pratiques.

A l’image d’un internaute qui demande de l’aide sur un forum spécialisé, des entreprises font appel à la “foule” pour enrichir leur recherche et développement (R&D) et leurs perspectives d’innovation. Pour accéder à une compétence absente en interne, capter une tendance ou encore analyser un besoin à combler, elles s’essaient ainsi au “crowdsourcing”.

Pour plus d’information je vous transmets le lien ci-joint.

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