Archives de la catégorie Intelligence territoriale et stratégique

INTA34 – World Urban Development Congress

La Réunion doit relever le défi de l’aménagement de son territoire. L’actualité autour du SAR, récemment discuté l’a illustré. Dans ce cadre toutes les réflexions qui permettent de mieux éclairer nos choix sont les bienvenues. Le congrès de l’INTA34 « World Urban Development Congress » participe de cela. Plusieurs travaux présentés notamment dans les domaines de l’aménagement du territoire, de l’innovation et des infrastructures innovantes sont riches en éclairages pour La Réunion.

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Mental muscle: six ways to boost your brain !

On parle souvent d’économie de la connaissance….au niveau individuel quel en est la conséquence ? Nous savons que plus notre capacité d’abstraction est élevée plus forte sera notre capacité d’adaptation. Notre capacité d’abstraction est en partie reliée à notre cortex….sa constitution…son usage….Il n’est donc pas négligeable de pouvoir l’entrainer….Dans cette perspective, voilà de la lecture et quelques conseils pour vous entrainer : Mental muscle: six ways to boost your brain – life – 04 October 2010 – New Scientist.

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Pour comprendre l’histoire de la science, prenez le métro et le tour est joué !!!!

Pour les curieux ou pour les amateurs de quizz, voilà une page qui vous enchantera…et puisque c’est le week-end cela est bienvenu…En effet, le lien suivant, Subway Science, vous permettra de découvrir l’histoire de la science d’une façon originale. Il s’agit plus précisément d’un parcours à travers un plan de métro qui résumera 500 années d’histoire de la science. Alors bon voyage….!

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L’initiative et l’innovation font gagner l’Afrique !

La Réunion sait qu’une partie de son avenir se joue dans le domaine de l’économie de la connaissance soutenue par un effort en matière de R&D et d’innovation. Cela appelle un changement plus important des mentalités plus favorables à la prise de risque et à l’esprit d’entreprise. Cet axe stratégique, qui n’exclut pas le développement traditionnel, est aussi celui sur lequel l’Afrique entend miser. Un article issu du site Afrique Avenir nous éclaire sur ce point. L’initiative et l’innovation font gagner l’Afrique: http://bit.ly/dyo7oZ via @addthis

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Pendant ce temps…la Russie et la Norvège se partagent l’Arctique

Pendant ce temps…la Russie et la Norvège se partagent l’Arctique…: http://bit.ly/dnGXmB via @addthis

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L’île Maurice, tout azimut en matière de destinations économiques !!!!

Pendant que nous nous focalisons sur la Chine, nos voisins mauriciens diversifient leur porte-feuille de destinations économiques : la dernière est celle du Congo. En effet, le conseiller économique du Premier Ministre mauricien y a effectué une visite afin d’explorer le potentiel en matière d’investissements. A suivre, car, pour nous réunionnais l’ouverture doit aussi se décliner vers notre bassin géographique naturel le plus proche. L’avenir se déclinera sans doute sous la forme de blocs multipolaires. Il ne faut tourner le dos à personne. Et surtout ne jamais laisser une terre vierge : la nature a horreur du vide…

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L’Afrique développe un important réseau sous-marin de télécommunication

Pendant que La Réunion bataille en interne sur qui a fait quoi en matière de réseaux et d’infrastructures…l’Afrique, elle, tisse sa toile de cables sous marins pour accélérer son décollage et espérons le son développement. A voir.

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Face à la séduisante Afrique du Sud, La Réunion peut-elle convaincre la Chine ?

Il existe actuellement une certaine frénésie à La Réunion dès lors que l’on parle de La Chine. Cela ne date bien entendu pas uniquement de la venue de l’équipe de Chine venue battre celle de La France, on s’en souvient trop malheureusement ! En fait cette attirance pour l’eldorado chinois remonte à plusieurs années depuis que différents responsables politiques ou entrepreneurs y  ont vu la possibilité de profiter du formidable dynamisme chinois. Encore faut-il que La Chine nous prenne en considération ? Des progrès ont été réalisés dans ce domaine avec l’ouverture d’une représentation diplomatique l’année dernière. En outre, depuis plusieurs mois la nouvelle équipe à La Région redouble d’efforts pour séduire les autorités chinoises. Pour l’instant en vain de réel succès sur l’obtention des visas ou sur la possibilité d’être reconnue comme destination autorisée par le gouvernement chinois. Plusieurs communes de l’île participent d’ailleurs à ce mouvement et ont cherché à profiter du processus enclenché à l’occasion de l’inauguration du Stand de La Réunion dans le Pavillon France de l’Exposition Universelle de Shangaï. Jusqu’ici, on pourrait croire que tout va bien. Mais, il convient d’être prudent pour ne pas réitérer certaines erreurs commises dans le passé au sujet d’autres mythes géographiques. Plusieurs éléments m’amènent à considérer que s’il faut avancer dans cette direction, prudence doit demeurer mère de toutes les suretés…En effet, d’une part relativisons les dimensions de nos économies. En général, la petite économie a souvent à gagner à une forme de libéralisation des échanges avec une plus grande. Sauf que, ici on parle de la Chine, l’atelier du monde, à la recherche de marchés extérieurs solvables. La Réunion en tant que « cheval de Troie » de l’Europe dans l’océan Indien dispose d’un atout fort intéressant à condition de ne pas indisposer les autorités européennes et de respecter un minimum d’éthique…D’autre part, rappelons nous que la stratégie chinoise en Afrique n’est pas des plus neutre et uniquement bienveillante…Un bilan de l’arrivée des intérêts chinois dans plusieurs pays africains laisse apparaître un rapport déséquilibré dans les termes de l’échange. Il arrive même souvent que les autorités chinoises sont critiquées pour mettre à mal tout le travail entrepris auprès des pays très endettés. Dans ce même ordre d’idées, il est aussi bon de souligner que nous ne sommes pas les seuls à présenter des atouts pour les chinois dans la région et ainsi à leur faire les yeux doux. Le cas de la République d’Afrique du Sud est parlant. L’article paru dans le quotidien économique La Tribune, illustrant « Comment la Chine avance ses pions en Afrique du Sud » est parlant. Ainsi, entre les fusions-acquisitions de firmes, les sensations de pillage de ressources et les accords de partenariats multiples, il ne fait pas de doute que les relations sino-sud-africaines sont loin d’être uniquement cantonnées aux échanges culturels. Afin de ne pas être déçus dans le futur ou de prendre la pleine mesure des intentions réelles du géant asiatique, qui a déjà ses pions implantés dans la région, nous nous devons de mettre tous ces éléments en perspective. Pour terminer, le fait que l’intérêt chinois pour l’océan Indien finisse par irriter les autorités indiennes (cf. le JDD du 31 août 2010) contribuent à la nécessité de cette réflexion.

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L’Afrique « terre verte » : Création d’un fond pour aider les pays du COMESA à accéder au marché du carbone

La prise de conscience que l’environnement est un enjeu majeur ne restera pas la panacée des seuls pays développés. Jusqu’alors cantonné à un concept théorique, l’accès au marché du carbone va pouvoir se concrétiser pour les pays de l’Est africain. Effectivement, le marché des droits à polluer (appellation étrange vous me direz) permet aux entreprises d’acheter sur des marchés (tel que celui de Chicago par exemple) un certain volume de droits correspondant à un volume de pollution selon le principe du pollueur-payeur inventé par Ronald Coase, prix nobel d’Economie. Ce faisant, l’entreprise prend conscience du coût de sa pollution et est incitée à la réduire. Il en va un peu de même pour le marché du carbone et de la quantité que chaque entreprise ou pays aurait ainsi le droit d’émettre. Cependant, dans leur conception il y plusieurs années de cela, ces institutions ont été adaptées au contexte des pays développés ou des grands pays émergents. Quid des pays en développement en général et plus particulièrement pour nous des pays africains et de la zone océan Indien ? En fait les choses bougent et dans le bon sens. En effet, dans cette perspective, le Comesa (the Common Market for Eastern and Southern Africa) vient de créer un fond visant à faciliter l’accès de ses membres au marché du carbone. Ainsi, ce fond sera destiné à aider au financement de projets  (dans le secteur agricole, la protection et le renouvellement des forêts et la construction de petites industrie propres) initiés par les pays membres pour réduire leurs émissions de gaz à effets de serre. En pratique, et selon le coordonnateur en charge du changement climatique au Comesa (Chikakula Miti) le fond espère lever 1 milliard de dollars d’ici à trois ans auprès de divers donnateurs internationaux et de fonds souverains. Par exemple le gouvernement norvégien amorcera le fond avec une aide de 4 milliards de dollars. Le fond, dont le siège de la gouvernance est à Maurice, sera hébergé à la Kenya-based Preferential Trade Area (PTA) Bank. Les premiers appels à projets seront réalisés dès la mi-Septembre 2010. Par ailleurs, progressivement le fond sera ouvert aux 26 pays de la Communauté de l’Est Africain ainsi qu’aux membres de la SADC. Quand des évolutions vont dans le bon sens il est bon de le signaler. Car La Réunion « Ile Verte » ne sera pas un modèle durable si ce n’est pas toute la zone géographique du Sud-Ouest de l’océan Indien qui enclenche sa conquête d’un avenir plus respectueux de l’environnement. C’est aussi cela prendre en compte le co-développement régional.


 

 

 

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Aider les pme à voir grand : éclairage utile pour La Réunion !

En matière de management et de stratégie d’entreprise on sait que la difficulté n’est pas uniquement de créer son entreprise mais surtout de survivre, de passer le cap des trois ans…A La Réunion cela est aussi vrai et encore plus aujourd’hui dans le contexte de crise saillant. Nous savons que la distribution des entreprise réunionnaise est surtout concentrée autour des très petites structures faisant face à de micro-marchés. Aussi, pour l’entreprise réunionnaise cette préoccupation est d’autant plus grande que de part sa petite dimension elle est également et par conséquent insuffisamment encadrée. En effet, la pyramide organisationnelle de l’entreprise réunionnaise manque de cadres intermédiaires et le chef d’entreprise est en général « l’homme ou la femme à tout faire » ce qui n’est pas pour renforcer l’efficacité notamment lorsqu’on aborde une phase critique de l’existence de son projet (développement ou crise). Toute réflexion ou tout éclairage permettant d’éclairer le chef d’entreprise nous apparaît donc plus utile afin d’aider celui-ci « à voir grand ». Dans cette perspective l’article des échos peut vous être utile. Bonne lecture !

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