Archives de la catégorie Cycle et Reprise

Les Journées de l’Economie !

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L’édition 2011 des Journées économiques de Lyon 2011 permettra à plus de 6.000 participants d’entendre les meilleurs experts sur les grandes questions économiques d’une époque troublée par une crise historique.

Les Français sont nuls en économie, dit-on fréquemment. C’est pour lutter contre cette idée et favoriser la pédagogie du débat économique en France qu’ont été lancées les Journées économiques de Lyon, prononcez Jeco, à l’initiative d’universitaires, sous le haut patronage de l’Assemblée nationale.

L’édition 2011, qui se tient sur différents sites prestigieux du centre de Lyon, permettra à plus de 6000 participants d’entendre les meilleurs experts sur les grandes questions économiques d’une époque troublée par une crise historique.

Peut-on domestiquer la mondialisation ? L’Europe en quête de politique industrielle. Quelle est la soutenabilité de la croissance : voici un exemple des conférences qui se dérouleront au cours de ces trois jours, du 9 au 11 novembre.

Suivez les Journées Economiques de Lyon 2011 grâce au blog réalisé par l’Ajef et les étudiants d’IPJ Dauphine

Pour accéder au site des journées économiques, cliquez ici.

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Effacement partiel ou total de la dette grecque ? La messe est dite !

Même un effacement total de la dette grecque ne ramera pas le budget à l’équilibre La charge d’intérêt plombe le budget de l’Etat grec. Un défaut total semble donc une solution intéressante pour ce pays. Toutefois, en y regardant de plus près, cette solution est encore pire pour la Grèce. Après l’annonce d’un référendum par le gouvernement lundi dernier, la question d’un défaut total sur la dette publique du grecque a été relancée. L’accord européen prévoit un défaut partiel sur la dette obligataire mais uniquement sur la dette détenue par les investisseurs privés. : banques, assureurs et fonds d’investissements (pas forcément des Hedge Funds)…Il reste à négocier tout le reste de la dette et c’est là que se situe peut être la clé de sortie…Mais malgré tout, même avec un effacement total, la Grèce ne parviendrait pas à ramener le budget à l’équilibre. Voyez plutôt cette analyse en détail.

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Le marketing-antidote contre la morosité et générateur de rêves !

Lorsqu’on effectue un achat on peut être sensible à plusieurs paramètres. Son prix bien sûr, sa tendance, les valeurs et l’usage qui lui sont associés….Mais pour Gaël Clouzard, rédacteur en chef du magazine de tendances Influencia “On n’achète pas un produit qui se contente de refléter le monde réel. Pour susciter le désir, il faut au contraire s’en éloigner. Faire rêver.” Dans ce cadre le marketing apparaît vraiment comme un antidote à la morosité. On a alors une nouvelle tendance qui est crée : le marketing antidote !

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Le chômage dans les régions françaises en septembre 2011 : situation aggravée des DOM !

 

Le chômage dans les régions françaises en septembre 2011
On a souvent l’habitude de présenter les statistiques nationales sans les DOM. C’est d’ailleurs une des revendication des Etats Généraux de l’Outre-Mer de corriger cette lacune. Dans le cadre de ce bilan mensuel sur le chômage et son évolution dans les régions françaises cela n’est pas le cas : les Dom sont présents et analysés. Il faut le saluer.
La première impression est de noter l’impressionnant écart persistant entre les régions françaises métropolitaines et leurs homologues ultra-marine. Même si les statistiques nationales témoignent d’une grave crise et d’un fort ralentissement, cela est encore aggravé au sein des Dom.
Plus généralement, en septembre 2011, le nombre de chômeurs en région progresse partout. Les offres d’emploi évoluent de façon plus dispersées, avec 12 régions dans le vert. En France, le nombre de chômeurs (cat. ABC) par région est partout en hausse en septembre 2011. Même la Franche-Comté repasse dans le rouge (+0,3 %). Toutefois, la dégradation est variable suivant les régions. Au niveau national, la hausse atteint 4,5 % (inchangé depuis juillet).  Le chômage augmente le plus vite en Corse (+8,5 % sur un an), en Champagne-Ardenne (+8,2 %), à la Réunion (+7,9 %), dans le Languedoc-roussillon (+7,7 %) et en Limousin (+7 %). On compte désormais 9 régions avec une hausse supérieure à 6 % sur un an. Parmi les grandes régions de France métropolitaine, L’Île-de-France est bien positionnée par rapport aux autres régions (+3,1 %), seule les Pays de la Loire sont mieux placées (+2,5 %). Les régions Nord-Pas-de-Calais, Bretagne, Aquitaine, Centre et Rhône-Alpes ont des évolutions très proches de la moyenne nationale. Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées et Paca sont en revanche dans une position plus dégradée.
Dans les DOM, la situation est variable avec une hausse modérée en Martinique (+3,5 %) tandis que la situation reste difficile en Guyane (+6,6 %), en Guadeloupe (+6,7 %) et à la Réunion (+7,7 %). Au total, le chômage progresse de 6,7 % dans ces régions. Au niveau des offres d’emploi durables par région, le grand écart est encore plus marqué avec 12 régions dans le vert et d’autres toujours en très fort recul. Les économies régionales en grande difficultés sont : Martinique (-33 % sur un an) et plus généralement les DOM (-20 %), Guadeloupe (-23 %), Limousin (-20 %), Corse (-19 %), Haute-Normandie (-10 %) et dans une moindre mesure Languedoc-Roussillon (-9 %). A l’inverse, l’évolution est très positive en Franche Comté (+20 %), dans les Pays de la Loire (+16 %), en Île-de-France (+8 %) et dans le Centre (+7 %).

Equipe GECODIA – Jeudi 27 Octobre 2011

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Sur les marchés le feu couve toujours ! Ils ne croient déjà plus à la réponse apportée à la crise de la dette !

 

Les marchés ne croient déjà plus à la réponse apportée à la crise de la dette

Les bourses mondiales sont nettement dans le rouge ce lundi. Les marchés ont digéré les annonces de la semaine dernière et le pessimisme fait un retour en force. Sur la dette d’Etat en zone euro, la tension progresse à nouveau. Apres l’euphorie de la semaine dernière après le sommet européen, la situation n’évolue pas dans le bon sens sur les marchés.

Pour plus de précisions sur cette situation plus que préoccupante, je vous propose le lien suivant : Les marchés ne croient déjà plus à la réponse apportée à la crise de la dette.

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La Chine interviendrait dans la crise de la dette mais pas pour rien !

Une implication de la Chine dans la crise de la dette semble se dessiner. Même si les garanties accordées seraient principalement financières, des contreparties plus politiques vont venir sur le tapis. Voir l’article en entier.

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Face à une croissance quasi-nulle en 2012, le gouvernement face au défi fiscal ?


Répartition des principaux impôts prélevés par l’Etat en France

La révision à la baisse de la prévision de croissance du gouvernement pour 2012 crée un trou dans le budget. Parmi les principales recettes fiscales, la TVA et la CSG sont en première ligne pour trouver l’argent frais. Le gouvernement français va abaisser sa prévision de croissance pour 2012 à 1 %. Au-delà du fait que cette prévision reste à nos yeux trop haute, il va donc falloir trouver autour de 6 milliards € d’économies ou de recettes supplémentaires par rapport au budget actuellement discuté au Parlement.

En France, l’Etat et ses organismes rattachés ont, en 2010, prélevé 503,5 milliards € d’impôts divers. L’Etat seul ponctionne l’économie française à hauteur de 253,6 milliards € de recettes fiscales.

Afin d’approfondir cette question du défi fiscal pour le gouvernement, je vous propose le lien suivant : Répartition des principaux impôts prélevés par l’Etat en France

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Buzz marketing, ladilafé et résilience : atouts d’une île, La Réunion, en mutation accélérée

La Réunion comme tout territoire de petite dimension a pour particularité de faciliter le buzz marketing ou ce qu’on appelle aussi le marketing viral. En créole on appelle cela le « ladilafé » ! On éternue à la ville de Saint-Pierre (principale ville du Sud de l’île) et on s’enrhume à Saint-Denis (principale ville du Nord de l’île). Cette rapidité avec laquelle l’information (vérifiée ou pas) se diffuse est décuplée avec l’avènement des réseaux sociaux. L’événement incendiaire qui frappe cette période est un nouvel exemple de diffusion de l’information à travers la société à la quasi-vitesse de la lumière.

Ce constat  n’est pas une découverte. Lorsque nous réfléchissions à plusieurs avec le SGAR de l’époque Jean Balandras au projet GERRI nous avions conscience que le territoire réunionnais présentait cet avantage de faciliter les comportements de mimétisme ou de consommation osmotique grâce à ce fameux marketing viral. Là ou l’information se serait perdue dans les champs de blé en France métropolitaine, ici à La Réunion, comme dans toute île, elle rebondirait sur les parois de nos côtes maritimes et serait amplifiée à l’instar d’une longueur d’onde ou d’un écho.

Ce principe du buzz n’a pas qu’un impact en marketing. Il s’avère aussi intéressant dans le cadre de la prise de conscience de son territoire. Ce dramatique incendie a le mérite d’avoir en un week end tissé un lien quasi charnel entre les réunionnais et leur île. Les réactions laissent apparaître des émotions de quasi souffrance pour notre forêt. Et il est vrai que cela est fort triste. Mais, là où il y a quatre ans, le projet d’inscription des Pitons, Cirques et Remparts s’était déroulé dans le quasi anonymat pour la première candidature, il en est tout autrement aujourd’hui. Le buzz des réseaux sociaux laisse émerger la croyance que La Réunion souffre à l’unisson pour sa forêt. Cela témoigne donc de la vitalité du lien fort qui unit les réunionnais, souvent tentés par une forme d’hédonisme, quels qu’ils soient à leur île. Encore une fois, comme dans beaucoup d’autres épisodes qui sollicitent la population, une véritable solidarité se répand dans les quatre coins de l’île et à travers la diaspora réunionnaise dans le monde à l’endroit des pompiers d’abord, des victimes ensuite et de la population en général. Notre île, La Réunion, fait encore montre de l’un de ses principaux atouts quasi endémique : la résilience sociétale. Le réunionnais, à l’instar du roseau, plie mais ne rompt pas !

Cette capacité à absorber le choc et à s’inscrire dans une véritable « cause patriotique » est extrêmement utile pour pouvoir relever les prochains défis économiques et sociaux qui viendront nous mobiliser, nous solliciter dans les prochaines années : dès lors cette capacité à puiser dans cette force, cette résilience doit nous convaincre que « lé pa kapab lé mor san ésayé »…Il en va pour l’incendie que nous vaincrons mais aussi des grands défis à venir. Ces atouts seront cruciaux pour une île connaissant une mutation accélérée !

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Une crise du feu révélatrice à La Réunion de plusieurs incendies… »La maison brûle et on regarde ailleurs »

La Réunion connaît avec cet incendie d’une ampleur exceptionnelle une émotion particulière au niveau de sa société.

Les réactions fusent de toute part. Les différents moyens de communication traditionnels et plus modernes, comme les réseaux sociaux, se sont emparés de cette situation de crise. La Réunion, comme pour plusieurs autres situations de crises récentes, oscille entre l’inquiétude pour une partie de sa population et l’indifférence pour une autre.

Cela appelle plusieurs commentaires car au-delà de l’évènement, les réactions de la population réunionnaise ces dernières années nous interpellent à l’heure de l’économie 2.0.

D’abord, et d’une façon générale, les différents évènements qui frappent notre île depuis plusieurs années voient leur impact sur la société s’amplifier…Effondrement d’une partie de la falaise de la route du littoral, crise du chikungunya,…Accidents multiples provoqués par les requins, incendies à répétition,…connaissent une diffusion croissante dans la société par l’intermédiaire  des effets de buzz ou de diffusion virale. Il apparaît dès lors étonnant que les autorités ne tiennent pas compte de ce nouveau moyen de sentir l’émotion de la population. A ce jour tout semble comme si l’expression de cette émotion via le web n’était pas prise au sérieux au moins du point de vue émotionnel si ce n’est d’être renvoyée au seul niveau de la polémique.

Ensuite, cette émotion croissante à chaque événement, toute légitime qu’elle puisse être, traduit cette peur qui caractérise de plus en plus nos sociétés en ce début de XXIème siècle. Où  allons nous ? L’absence de réponse claire ; au contraire, les crises à répétition, les incertitudes et les doutes surgissant de contextes stressants alimentent la crainte, les peurs…Nous sommes bel et bien entrés dans les 30 peureuses…après être sortis des 30 piteuses ayant fait suite aux 30 glorieuses.

En outre, certaines déclarations de responsables politiques locaux semblent paradoxales. Ceux-ci appellent à la solidarité, à la non utilisation de polémiques…Mais, ce sont souvent ces mêmes décideurs qui d’habitude en font le plus souvent usage dans une perspective de clivage. Un encart, paru dans la presse locale réunionnaise du dimanche 30 octobre le démontre : deux Présidents de groupements de communes invitent à une réaction solidaire de toutes les forces vives locales mais plutôt que de citer tous les partenaires (y compris le Département ou le T.C.O sur le lequel une grande partie de l’incendie sévit) ils ne font que citer pour le défendre…l’un d’entre-eux, en proie actuellement à de nombreuses difficultés de communication sur sa stratégie. Sur ce plan, la gouvernance politique doit évoluer et cesser de n’être qu’un jeu de manipulations ou de communication. Les citoyens ont évolué. Agir sur les peurs, pour ensuite s’inscrire en protecteur tout azimut, n’est pas une issue de progrès. Oui à la mise en place de réaction solidaire…Mais cela dépasse le seul cadre de l’incendie actuel de la forêt réunionnaise et concerne sans doute l’incendie qui couve parallèlement au sein de la société réunionnaise prise dans son ensemble.

De plus dans ce même cadre, dans ce contexte de gestion de situation ou de communication de crise, les autorités, malgré les déclarations au plus haut niveau local, semblent quelques fois manquer de pédagogie. Certes, il est évident que face à une stratégie de lutte contre ces catastrophes majeures une part d’improvisation existe malgré les nombreux plans de prévention ou malgré les bilans tirés des expériences précédentes. Certes, il peut être compris qu’un examen avantages/coûts sur l’utilisation d’une stratégie invite à retarder l’emploi d’un outil ou à l’éviter. Certes, on comprend que la solidarité nationale s’exprime déjà généreusement avec l’envoi de plusieurs centaines d’hommes et de femmes venus prêter main forte aux forces du terrain à La Réunion. Mais, dans ce monde où la communication va plus vite que la décision, il est impératif d’être transparent. Or, les contradictions demeurent entre les déclarations passées et celles qui sont posées au présent. Par ailleurs, certaines justifications peuvent apparaître comme trop hasardeuses dans un monde où tout est vérifiable par les moyens numériques. Dès lors, l’absence de transparence ou le maintien d’un écran de fumée au sein des déclarations conduit à nourrir la suspicion au sein de la société en recherche de confiance dans cette période de crainte. Cette société est consciente que tout a un coût, que tout exige des délais, que des spécialistes ou des gens de l’art maîtrisent ces situations…Mais la société, à l’heure des réseaux sociaux exige une élévation du niveau d’information, du niveau d’explication…et supportent de moins en moins l’asymétrie informationnelle même s’il faut le consentir l’émotion n’est parfois pas la raison. Néanmoins, parier sur l’ignorance d’une société hyperconnectée, croulant sous les informations aux sources de qualités variables, n’est peut être pas non plus une solution porteuse.

Enfin, cette situation de crispation serait amoindrie si elle n’avait pas lieu dans un contexte de déceptions issues de la façon avec laquelle les collectivités d’outre-mer ont encore aujourd’hui l’impression (je dis bien « l’impression ») d’être évaluées, traitées, ou considérées. Malgré des Etats Généraux de l’Outre-Mer aux grandes promesses, malgré un bilan régulier de ces états généraux fait par les autorités publiques tenant davantage de l’exercice de communication, malgré de récurrentes déclarations de décideurs économiques fustigeant la façon avec laquelle les Départements d’outre-mer sont considérés par l’opinion métropolitaine, malgré la volonté clairement exprimée par les ultra-marins lors des Etats Généraux d’être traités, considérés sur un même pieds d’égalité (au moins dans les médias, les supports documentaires, les moyens et expressions de solidarité,…), force est de constater que cette crise associée aux incendies est révélatrice de la distance qui sépare les promesses de leurs réalisations.

Dès lors, il nous faut progresser car pour faire face aux aléas de la nature (parfois malheureusement déclenchés par la main de l’Homme), un changement de braquet s’impose pour adapter nos réactions aux évolutions de la société et des outils qui la composent. Il en va du maintien de la solidité du contrat démocratique qui nous lie. Cela s’avère également nécessaire pour qu’aucun ne s’empare de la démagogie ou de tout autre moyens pour fragiliser notre société. Les évènements qui, à coté de cette crise de feu majeure pour notre île, éclatent ici et là montrent clairement cette fragilité. Ils mettent en lumière  le fait que, parallèlement à cet incendie de forêt, couvent plusieurs autres incendies sociaux nourris, certes par la crise et ses incertitudes, mais aussi par le refus de voir de notre société ou par des promesses non tenues ou ayant débouchés sur des réalisations décevantes. A l’instar d’un ancien Président de La République, « La maison brûle…et on regarde ailleurs ».

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Le marketing territorial au service du projet de territoire !

Le marketing territorial au service du projet de territoire ! Lorsqu’un territoire ou une économie réfléchit à son projet ou à sa stratégie de développement, plusieurs outils se révèlent être nécessaires. Outre l’ingénierie de projet visant à construire ce document, il s’agit ensuite de la faire s’approprier par les acteurs éconmiques, la population et par le reste du monde. C’est alors que le marketing territorial s’avère d’une importance cruciale notamment lorsqu’il s’agit de créer une marque de territoire ou de ville.

Mais  une marque de ville est-elle une marque comme une autre ? Non, la ville ne peut se vendre comme un vulgaire produit. Elle doit mettre en valeur les potentialités qu’elle offre à ses citoyens et doit définir des projets qui fasse sens. Saint-Etienne a ainsi choisi d’ancrer sa mutation autour du design, Rennes s’oriente vers une gouvernance 2.0. Paris propose une démocratie culturelle. De plus en plus de métropoles recourent à des solutions innovantes pour améliorer nos vies d’urbains et rendre la ville plus intelligente.

Cette réflexion autour de la marque de territoire est d’une grande importance également pour les territoires périphériques insulaires (comme par exemple l’île de La Réunion) qui se recherchent un avenir, une destination, un projet de développement. Cette nouvelle tendance du marketing peut être un outil précieux dans une période où agitée par de nombreuses crises économiques, sociétales, nos territoires ces iles ont l’impérieuse nécessité de construire leur avenir durable.

Dans ce cadre je vous conseille la lecture de l’article sur les marques de ville ou le city branding


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